les Anges
C'est la vie
Tous les matins, c'est la même corrida
Lever la tête, ouvrir les bras
Tous les matins, c'est le même numéro
Trouver l'amour, chercher les mots
Je suis coincé comme une évadée
Faut marcher, ne jamais s'arrêter
Je suis piégée, comme une condamnée
A marcher, ne jamais se retourner
C'est la vie, la vie c'est du vent
Qui nous souffle les rêves d'enfant
C'est la nuit qui descend,
C'est jamais comme avant
Il ne faut plus faire semblant, attends
C'est la vie, la vie qui le veut
Qui nous blesse, le cœur et les yeux
C'est la nuit qui retombe
Comme la pluie et les bombes
Il ne faut plus faire semblant, attends
Tous les matins c'est le même cinéma
Tendre les mains, croiser les doigts
Tous les matins, c'est la même comédie
Chercher quelqu'un, trouver celui qui
Je suis piégée comme une naufragée
Faut marcher, ne jamais s'arrêter
Je suis coincée, comme une révoltée
A marcher, jamais se retourner
Anged'or
La comédie de la vie
Ecrasée par les douleurs et les peines,
Son âme pleure et son coeur saigne.
Mais que doit elle faire
Pour survivre dans cet enfer?
perdue dans ce monde féroce,
Elle trouve encore la force
Chaque jour, de se mettre en scéne
Et de jouer son rôle de comédienne...
A-t-elle vraiment le choix aujourd'hui...
Dans ce monde ou règne l'hypocrisie
Ou sont la gentilesse et la sensibilité?
Tout ce qui fait sa personnalité...
La comédie de cette vie...
Le drame de ses nuits...
Elle ne peut faire voir ses faiblesses
Mais seule, elle montre sa détresse...
Anged'or (De Valérie.s)
Qui suis-je?
Que suis-je, qui suis-je, telle est la question.
Petite fleur à la fois douce et fragile...
Petit chaton craintif sûrement trop docile...
Gentillesse et sensibilité, caractères oubliés...
De nos jours cela semble dépassé...
Et comme un fantôme, je reste là,
Sans faire de bruit, seule avec moi...
Je suis devenue une timide ombre,
Prête à se cacher dans une tombe.
Une conclusion, y'en a t il une à faire?
Je suis juste un ange perdu...
Anged'or ( de valérie.s)
Triste inconnue
Triste inconnue : un pseudonyme sans bonheur
Qui décrit sans erreur ce qu'il y a dans mon coeur.
Bléssé et détruit mon corps sans vie pleure
Car telle une malédiction je subis ce malheur.
Les larmes de mon être coule sans intérruption...
Mes yeux ont pourtant aperçu la passion
Cette passion si éphémère a un goût amer.
Et l'eau du puit de l'amour me semble moins claire...
AngeBleu
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tres beau mon angedoré ... jtadore bigbisou
c à mon tour de dire no comment mon ange...;bisous
anged or ton poeme ett tt simplement beauuuu mais reel ('le kotidien)je te fait 1 enorme bisous tit bb